Il s'agit d'une étude sur la violence d'après les récits des gens vivant dans les rues de Belo Horizonte. Ces récits sont vus comme un espace de réflexion et de réfraction des normes sociales. La violence de ces exclus représente dans ce cas une forme de langage agonistique d'un segment social qui cherche à être vu et écouté. En ce sens, l'échange et la réciprocité existent: les exclus rendent injure pour injure.