L'article s'occupe des formulations d'André Gorz sur le travail immatériel. Leur analise du capitalisme contemporain est fondée sur um modèle formé par les catégories connaissance, valeur et capital, dans lequel connaissance est la principale force productive. Cet article compare ce modèle à un modèle anterieur, formé par les categories travail, valeur et capital, dans lequel travail était la force produtive principale; l'article mettre en relief que la différence entre les deux medèles est le remplaçement de travail par connaissance. Dans une économie de connaissance, comme laquele du premier modèle, la productivité de la majorité des activités ne peut pas être mesurée par le temps du travail comme dans le capitalisme classique; en outre, plusieurs de ces activités dépendent des savoires-faire pratiques qui ne pouvont pas être codifiés et privatisés. La thèse qui je défend ici, c'est que le principal événement de cette change d'un modèle à l'outre, c'est la dilution de temps du travail comme critère pour mésurer la productivité; et ça atteint la téorie de la valeur et, par conséquence, la base du calcul des équivalences par le capitalisme. Ça, pour Gorz, c'est la principal cause de la crise du capitalisme e du travail salarié comme moyen d'attribution des droits; et ça est aussi un motif suffisant pour lui passer à défendre l'allocation unconditionel du revenu aux personnes.
André Gorz; connaissance; travail immatériel; temps du travail; théorie de la valeur; crise du capitalisme