Réflexion sur “O Campo de Terezin”, d’Eclea Bosi, présente une aire d’aboutissement de juives qui portait caracteristiques espéciales. La ville, fondé pour acueillir des gens notables, comme les scientistes, les héros de la guerre et les artistes, a reçu l’air d’une ville exubérante pour qui, du déhors, sont venu visiter, surtout dans les arts et les sports. À l’interieur, l’administration du terreur se donnait par rapport a qui serait le choisi pour survivre ou pour mourir. Lire le texte est comme sentir la pulsation de la vie en relation a ses enchantements - la musique, la vibration, la joie - mais, fondamentalement, vivre les horreurs: la douleur, le silence et la mort. Ce n’est pas possible parcourrir ces pages sans perdre le souffle et partager avec l’auteur l’affliction des ses acteurs.
Bosi, Ecléa; Camp de concentration; Enchantements; Horreurs; Rêve; Resistance