Résumé
Le roman réaliste, plus que d’autres modalités de représentation fictionnel, établit un rapport avec le conjoncture historique où est produit et qui est couverte par celui-ci. En considérant la condition de la femme, cet article étudie et compare les romans A mulher que fugiu de Sodoma (1931), par l’écrivain brésilien José Geraldo Vieira, et Ana Paula (1938), par le romancier portugais Joaquim Paço d’Arcos, en se concentrant dans un élément important de leur monde : la destruction d’un mariage en raison du comportement ignominieux des maris et, en conséquence, le rôle joué par les épouses. Basé sur des études réalisées par Erich Auerbach et Roger Chartier sur la représentation aussi bien que sur la recherche développée par Mary del Priore, Anália Cardoso Torres et Irene Vaquinhas sur les femmes et le mariage, les récits littéraires sont abordés de façon critique dans leur inserction historique. Tandis que Vieira présente le comportement actif de Lúcia, qui quitte son mari, Paço d’Arcos construit Ana Paula comme une femme qui reste avec son mari jusqu’à la fin.
Mots-clés:
la condition de la femme à les années 1930; José Geraldo Vieira; Joaquim Paço d’Arcos.