Abélard, à son éthique, préfère, à la notion de "vice", celle de "péché". Ce mouvement n'est pas um préssupposé de l'auteur, mais se suit, nécessairement, à sa position de logicien et, aussi bien, à sa critique aux philosophes stoïciens qu'il a pu connaître.
Abélard; éthique; vice; péché; individu; universel; intention; stoicisme