RÉSUMÉ:
Cet article vise à discuter la possibilité du récit du montage du funkguider les pratiques éducatives plus émancipatrices. En tant qu'une pratique musicale de la communauté noire fortement présente au quotidien à l'école municipale où je travaille et bien d'autres écoles locales, le récit du funk montage ouvre des possibilités très fertiles dans le déplacement des relations néocoloniales qui tissent l'enseignement scolaire, en particulier pour aborder la question de la race elle-même. Surtout pour ne pas placer cette question dans des limites biologiques (phénotype), géographique ( favela ) ou culturelle institutionnalisée ( Funk ), mais dans la pratique dite musicale de tous les jours.
Mots-clés :
Education; Quotidien; Communauté noire; Montage